REVUE DE PRESSE 2016   REVUE DE PRESSE AV 2016 

« Pianiste et compositeur, l’Argentin Gerardo Jerez Le Cam joue du tango et parfois non.(…) Depuis qu’il a rencontré des musiciens des pays de l’est de l’Europe à son arrivée en France en 1992, le métissage est sa partition principale »

 HaG!, journal d’info de la scène nationale de Blois/ nov 2012

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Concert | La Chapelle-sur-Erdre – Mai 2018

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Atelier à Blois – juin 2018

Un tango sur le grill pour la Nuit danse
Gerardo Jerez Le Cam, Facundo Torres et Iacob Maciuca donnent un bal tango libre et sensuel aux accents tsiganes dans le cadre du festival Europhonik, qui débute ce soir.

Entretien Gerardo Jerez Le Cam,
Nantais d’origine argentine, pianiste et compositeur du trio Parilla Libre. Il joue ce soir dans le cadre de la Nuit danse qui ouvre Eurofonik, le festival dédié aux voix et musiques des peuples d’Europe.
Parrilla libre désigne bien un barbecue gratuit en espagnol ?
C’est plutôt barbecue libre. Parrilla désigne à la fois un gril de cuisson traditionnel argentin mais aussi des grilles d’accord que l’on utilise dans le tango. Le Parilla libre est une libre interprétation à partir d’une simple ligne mélodique.

D’où est venue votre inspiration pour ces nouvelles compositions ?
J’ai trouvé des disques anciens de tango dans des brocantes à Buenos Aires. Des disques très rares qui datent des années 20, bien avant l’âge d’or du tango. Ces compositions assez vierges m’ont permis de faire un travail d’arrangement assez original avec toujours le respect de la danse. On retrouve des couleurs particulières qui ne s’entendent pas toujours dans les bals où reviennent souvent les mêmes morceaux. On est agréablement surpris. C’est une composition très libre avec un vrai travail d’écriture.

Vous êtes né avec le tango. Que représente cette musique pour vous ?
Le tango est pour moi un outil, une finalité. C’est l’ouverture des portes du métissage. C’est une musique très passionnelle, très charnelle. C’est aussi très paradoxal, le tango évoque le plaisir, la gaieté mais trouve aussi sa source dans la mélancolie ; la mélancolie des immigrants qui ont quitté leur terre. C’est vraiment une manière de marcher. La valse tourne. Le tango marche.

Ce vendredi 11 avril
, à 19 h à la Cité des congrès, Nuit Danse avec aussi le groupe irlando-scandinave This is how we fly, le guitariste Titi Robin, les frères Guichen.Samedi , suite du festival avec, de 15 h 30 à 18 h 30, des animations gratuites : découverte de luthiers et leurs instruments, fabrication de musique verte, expos… Puis concerts payants. Billetterie au Nouveau Pavillon, tél. 02 40 02 35 16 ; www.eurofonik.fr. Pass deux jours de 22 à 24 €, la Nuit Danse de 6 à 12 €, le samedi de 10 à 19 €. Gratuit jusqu’à 10 ans.

Entretien avec Gerardo JLC, Ouest France, avril 2014

« Il y aura toujours un océan pour alimenter le vague à l’âme de Gerardo Jerez le Cam … celui qui sépare la France de l’Argentine. » Émission « Gens d’ici », France Bleu Loire Océan, 10 mai 2013 :

Émission « Gens d’ici », France Bleu Loire Océan, 10 mai 2013

Entretien avec Gerardo Jerez Le Cam sur la composition « El agujero en el cielo » (CD Tango Balkanico, Label Ouest/Rue Stendhal) • Propos recueillis par Fabrice Hatem’s, mars 2013

Entretien avec Gerardo Jerez Le Cam sur la composition « El agujero en el cielo »

Interview de Gerardo JLC & Thierry Bréhu, directeur musical de l’Orchestrale de Nantes, radio JeTFM 26 novembre 2013

en podcast ICI

Interview de Gerardo JLC & Thierry Bréhu

Jerez Le Cam ensemble Festival d’Île de France, 5 oct 2013, reportage

Reportage – Festival d’Île-de-France, 5 octobre 2013

Reportage, France 3, novembre 2010

« (…) Les musiciens débordant d’initiative à l’intérieur des contraintes imposées par les partitions du pianiste et principal compositeur Gerardo Jerez Le Cam, qui agit à l’arrière-plan en véritable maître d’œuvre. Il y a du Piazzolla dans la façon dont ce dernier ouvre le format des danses traditionnelles, en leur assurant des prolongements orchestraux et formels.»

Franck Bergerot – Le Monde de la musique, septembre 2005

Ce sextuor propose un genre de tango qui transforme une certaine mélancolie pour les quartiers de Buenos Aires qu’on a quittés, en un regard nouveau et bienvenu sur le tango. » (traduit de l’espagnol) 

Karina Micheletto, Pagina doce, Buenos Aires, Août 2006

« Ce qui est intéressant dans le travail du Jerez Le Cam Ensemble, c’est ce mélange nouveau auquel se soumet le genre tango qui est hybride depuis sa naissance, dans l’alliance des styles et des cultures différentes, dans l’apport des compositions originales, en brisant les moules (« à la manière Piazzolla ») qui sont si présents dans notre milieu. » (traduit de l’espagnol) Ambito financiero, Buenos Aires, 14 août 2006

Ambito financiero, Buenos Aires, 14 août 2006

« Argentin d’origine, le pianiste et compositeur Gerardo Jerez Le Cam est toujours à la recherche d’un son nouveau : ses compositions mélangent allègrement tango moderne, rythmes balkaniques et folklore. » Iris MEYER (www.lepetitjournal.com – Buenos Aires) jeudi 20 août 2009

Iris MEYER, www.lepetitjournal.com

« On est entre romantisme et mystère, entre musique populaire et musique savante. Virtuose et inventif, cet orchestre aux accents mêlés agrandit le champ des possibles. »

Marc Delhaye, A/R magazine voyageur – carnet sept.-oct. 2010

«Avec « Reflejos Migrantes », Gerardo Jerez Le Cam invite à un voyage tourbillonnant dans les pas des migrants. Un hommage vibrant à ses parents… en écho à sa propre vie. Nomade, le tango bouscule les codes et croise les cultures.»

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Latins de jazz 6 novembre 2016

« De l’Argentine aux Balkans, il y a cette même façon de conjuguer le guinche et la mélancolie ; le pianiste argentin Gerardo Jerez Le Cam a trouvé chez le violoniste roumain Iacob Maciuca un archet prompt à répondre à ses cavalcades passionnées comme à ses épanchements. C’était il y a vingt ans. Depuis, les deux complices ont embarqué le Moldave Mihai Trestian, au cymbalum, et Manu Comté, au bandonéon, pour les accompagner dans leur tango tzigane. Un répertoire virtuose où il est question de rives que les migrants n’atteignent jamais, du cinéma de Tarkovski, d’aube grise et de lune orange, de chat noir et de sorcellerie… De la belle musique assurément. » Anne Berthod

Télérama, janvier 2017

RFI – musique du monde | A l’écoute

France Culture : les carnets de création | A l’écoute

RTBF – Le monde est un village | A l’écoute

Emissions à l’écoute – RADIO – 2017

La Orquesta Sinfónica Nacional repatría músicos a través de sus obras. Artistas como Daniel Binelli (vive en los Estados Unidos), Marcelo Nisinman o Gerardo Jerez Le Cam (ambos en Francia) tienen un lugar en este organismo argentino para hacer sonar su música.

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Mauro Apicella, LA NACION, 17 novembre 2016

Un pianista y compositor nacido en Ciudad Evita que desde 1992 vive en Francia y un poeta de la comunidad wichi que en sus palabras refleja las vivencias de su gente son los artífices de una obra que hoy a las 20 horas, junto con la Orquesta Sinfónica Nacional, dirigida por Mariano Chiaccharini, se materializará en la Ballena Azul del Centro Cultural Kirchner.

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Carlos Salatino, Tiempoar, 18 novembre 2016

Si le tango est une musique séculaire, nombreux sont les artistes qui refusent de l’appréhender comme une langue morte. Le pianiste Gerardo Jerez Le Cam est de ceux qui refusent l’immobilisme. Il cherche, expérimente et s’attache à dessiner les contours d’un tango résolument ancré dans notre siècle. Reflejos migrantes, son nouvel album studio, explore des territoires musicaux inédits en intégrant les racines musicales des autres membres de son quartet. Le tango, melting pot musical par excellence, s’enrichit ici d’harmonies venues aussi bien de Moldavie, grâce à la cithare ensorcelante de Mihai Trestian, que de Roumanie, avec les arabesques gypsies du violoniste Iacob Maciuca. Un tango aux résonances balkaniques, dont les envolées baroques, sauvages, indomptables, font toujours des étincelles sur scène. Envoûtant.

QUE TAL PARIS novembre 2016

« C’est toujours émouvant d’écouter s’accompagner et se répondre des instruments aussi captivants que le piano et le violon, aussi typiques et racés que le bandonéon et le cymbalium (ou piano tzigane). Si la virtuosité et l’inventivité, l’ouverture et la richesse d’esprit sont de la partie, alors il se peut qu’un miracle musical s’opère, une rencontre magique sublimant les traditions et les époques… C’est le cas dans ce nouvel opus du pianiste franco-argentin Geraldo Jerez Le Camintitulé Reflejos Migrantes. »

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Les chroniques de Hiko 11 octobre 2016

«Avec « Reflejos Migrantes », Gerardo Jerez Le Cam invite à un voyage tourbillonnant dans les pas des migrants. Un hommage vibrant à ses parents… en écho à sa propre vie. Nomade, le tango bouscule les codes et croise les cultures.»

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Latins de jazz 6 novembre 2016

« Son approche ludique et créative fait de Gerardo Jerez Le Cam l’une des personnalités les plus attachantes de la sphère tanguera. »

QUE TAL PARIS ? mai 2014

« Mar negro fait preuve, une fois de plus d’un certain penchant pour l’expérimentation. Alternant passages mélodiques et envolées rythmiques intenses, les douze plages instrumentales de ce nouvel album captent irrésistiblement l’attention. Un album interprété avec grâce et dextérité, où la richesse des mélodies s’apprécie à l’aune des dissonances de l’improvisation. »

QUE TAL PARIS ? mai 2014

« En faisant fusionner l’esprit des milongas de Buenos Aires avec les fièvres balakniques, Gerardo Jerez Le Cam fait exulter un sens de la fête à déguster jour après jour »

L’ALSACE, 27 mai 2014

« Dépasser les frontières est sa spécialité, il tisse les ponts autant entre les cultures qu’entre la musique savante et celle dite populaire. Un concert de Gerardo Jerez Le Cam c’est forcément l’évocation d’un voyage.  » L’ALSACE 13 juin 2014

L’ALSACE 13 juin 2014

« J’ai aimé l’atmosphère harmonique de ces musiques, la tonalité en mode mineur avec des chromatismes dans la mélodie me procure une bonne sensation. Les musiciens sont très soudés, ils sont comme une volée d’oiseaux qui ont ce rythme constant et vigoureux, ils savent où ils vont. Et la vidéo qui accompagne les images est belle également, très poétique. La tribune de la musique va être de toute beauté! » (traduit du brésilien) HAMILTON DE HOLANDA – 7 octobre 2014, son commentaire sur la musique du Jerez Le Cam trio (CD Mar negro)

HAMILTON DE HOLANDA – 7 octobre 2014

« Il y a vingt ans, le pianiste argentin a trouvé chez le violoniste roumain Iacob Maciuca un archet balkanique prompt à répondre à ses cavalcades les plus passionnées comme à ses épanchements mélancoliques. Les deux vieux complices démontrent l’originalité de leur tango tzigane dans des assauts souvent tourbillonnants ».

Anne Berthod. Télérama, sortir Paris le 20 octobre 2015

Anne Berthod. Télérama, sortir Paris le 20 octobre 2015

« À l’instar de Juan Carlos Cáceres, Melingo ou Las hermanas Caronni, le pianiste Gerardo Jerez Le Cam fait partie de cette famille de musiciens argentins qui n’ont de cesse de repousser les frontières de la tradition tanguera. »

QUE TAL PARIS ? janvier 2014